Le club parisien n’est pas épargné par les blessures au début de cette saison. De nombreux joueurs tels que Vitinha, Désiré Doué, Presnel Kimpembe, Lucas Hernandez et Marco Asensio ont déjà visité l’infirmerie, mais l’absence la plus marquante reste celle de Gonçalo Ramos. Actuellement, personne ne semble pouvoir remplir son rôle à la pointe de l’attaque aussi efficacement que lui.
Gonçalo Ramos, un vide ressenti depuis sa blessure
Victime d’une blessure sérieuse à la cheville lors de l’ouverture du championnat au Havre, l’attaquant est contraint à un repos d’environ trois à quatre mois. Son retour est espéré pour fin octobre, voire novembre. Selon Le Parisien, cette dernière hypothèse est la plus probable.
Depuis son absence, Luis Enrique a essayé plusieurs options. Marco Asensio a d’abord pris ce rôle avec succès avant de se blesser à son tour. Kang-In Lee a montré de belles choses, bien que sa performance à l’Emirates ait été en deçà des attentes. Ce positionnement étant nouveau pour lui, cela n’est pas surprenant. C’est précisément dans ces moments-là qu’un joueur comme Gonçalo Ramos est crucial.
Un retour impatiemment attendu
Les dirigeants parisiens, sous l’impulsion de Luis Enrique, ont choisi de ne pas recruter de remplaçant pour ce poste après le départ de Kylian Mbappé. Il est difficile d’imaginer que Randal Kolo Muani puisse endosser ce rôle, lui qui a encore du mal à s’adapter au PSG. Tout cela pointe vers une seule conclusion : Gonçalo Ramos doit retrouver la pointe de l’attaque dès son retour.
La question reste de savoir dans quelle condition physique il reviendra et, surtout, la date exacte de son retour.
Mon avis sur Gonçalo Ramos et son absence
Passionné et autodidacte, je dirige la rédaction d’AllezParis.fr. Fan du PSG et admirateur du pied gauche de Siaka Tiéné, mes goûts footballistiques sont parfois discutables. Toutefois, il est évident que l’absence de Gonçalo Ramos se fait lourdement sentir. Son retour pourrait être le catalyseur dont l’équipe a besoin pour retrouver sa dynamique offensive. Les dirigeants doivent sérieusement considérer des solutions de secours pour éviter de telles situations à l’avenir.