Platini « Je te donne mon maillot si tu siffles tout de suite » l’incroyable anecdote

Figure emblématique du football français, Michel a marqué plusieurs générations par son talent, sa vision de jeu et son influence sur et en dehors des terrains. Retour en dix anecdotes sur la carrière hors norme de l’enfant de Jœuf, de Nancy à la présidence de l’UEFA. Et pour finir en Bonus : Une dernière anecdote incroyable en demi final de l’Euro.

Quand le numéro 10 portait le 9

Lors de la finale de la Coupe de France en 1978, Michel Platini ne portait pas son célèbre numéro 10, mais le 9. Ce soir-là, c’est Paco Rubio qui avait hérité du 10, laissant un goût amer à Platini malgré son but décisif face à Nice.

Les séances spéciales coups francs

À la Forêt de Haye, Platini perfectionnait ses coups francs avec Jean-Michel Moutier. Pour mur, des mannequins plantés dans des seaux de béton. Le gagnant ? Il avait droit à un diabolo ! Une méthode artisanale, mais redoutablement efficace.

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La victoire amère au Heysel

Bien que vainqueur de la Ligue des Champions avec la Juventus en 1985, ce match reste gravé dans la mémoire collective pour la tragédie du stade du Heysel, qui a coûté la vie à 39 personnes. Une victoire endeuillée pour “Platoche”.

Déclaré “inapte” à Metz

Adolescent, Michel Platini avait été recalé par le FC Metz. En cause ? Un spiromètre, appareil de mesure respiratoire, mal interprété. Jugé “inapte au sport de haut niveau”, il prouvera bien vite le contraire.

Un international… koweïtien !

En 1988, il participe à un match amical avec l’équipe nationale du Koweït face à l’URSS. Un moment étrange et toujours inexpliqué, qui s’ajoute à ses 72 sélections officielles avec la France.

Le dernier porteur de la flamme

Aux JO d’hiver d’Albertville en 1992, c’est Michel Platini qui a eu l’honneur d’allumer la vasque olympique, un moment fort orchestré par Jean-Claude Killy.

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Une Ferrari en guise de cadeau

Pour sa retraite, Platini reçoit une Ferrari Testarossa offerte par Gianni Agnelli. Après une panne sur l’autoroute, il la donne à son ami Louis Nicollin, passionné de voitures, pour son musée privé.

Les crampons signés Patrick

Avant l’hégémonie des marques comme Nike ou Adidas, Platini a longtemps joué avec des chaussures de la marque française Patrick, une fidélité devenue presque légendaire dans le monde du football.

Une ligne de vêtements à son nom

Michel Platini a lancé une collection baptisée “10 Platini”, plus tard rachetée par Adidas. De 1990 à 1992, l’ fut équipée par cette marque à l’effigie du joueur.

Une suspension et un avenir incertain

Alors qu’il visait la présidence de la FIFA, Platini est suspendu quatre ans pour un paiement controversé de 1,8 million d’euros reçu de Sepp Blatter. Depuis 2019, la sanction est levée, et ses fans espèrent un retour.

Michel Platini incarne une époque du football français, mêlant romantisme, passion, et un destin fait de triomphes comme de controverses.

L’anecdote incroyable entre Platini, Chalana et l’arbitre Bergamo

Certains souvenirs d’Euro traversent les décennies et réservent encore des anecdotes savoureuses. L’une d’elles concerne Michel Platini, Fernando Chalana et l’arbitre italien Luigi Agnolin Bergamo, lors de la demi-finale de l’Euro 1984 entre la France et le Portugal, à Marseille.

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Après un match haletant, conclu par une victoire des Bleus en prolongation, Chalana, la star portugaise à la moustache légendaire, aurait été profondément vexé. En effet, Michel Platini aurait refusé d’échanger son maillot avec lui à la fin de la rencontre. Chalana, touché, aurait confié des années plus tard qu’il ne souhaitait plus jamais adresser la parole au meneur de jeu français.

Mais pourquoi ce refus ? Ce que peu de gens savent, c’est qu’à la toute fin de la prolongation, l’arbitre italien s’est approché de Platini et lui a demandé : « Tu me donnes ton maillot ? ». Ce à quoi Platini aurait répondu, avec malice : « Oui, si tu siffles tout de suite. »

Et c’est exactement ce que l’arbitre a fait : il a sifflé la fin de la rencontre sans laisser de temps additionnel. Platini a alors tenu parole et lui a remis son maillot.

Un geste qui, aujourd’hui, provoquerait un tollé. Mais à l’époque, il fut accepté avec une certaine légèreté. Reste que pour Chalana, ce petit arrangement de fin de match fut une véritable désillusion personnelle.

Une histoire parmi tant d’autres, révélée dans le Guide insolite et érudit de l’Euro, qui regorge de trésors oubliés du football européen.

*L’image de cet article a été généré par l’IA.

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A propos de l'Auteur
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Arthur Pierrot est journaliste pour un grand média sportif, amoureux du beau jeux et du football ancien, il est aussi un grand passionné du PSG pour lequel il nous fait par de sa passion.

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