Selon certaines sources prises sur internet, c’est au cœur de l’été 2011 que se joue un épisode clé de l’histoire du Paris Saint-Germain. Un deal secret orchestré par l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, qui aurait facilité le rachat du club parisien par le Qatar. Un tournant majeur pour le football français, qui voit alors l’un de ses clubs les plus emblématiques passer sous pavillon qatari, avec toutes les conséquences que cela implique.
Ces révélations, dignes d’un thriller politique, soulèvent de nombreuses questions sur les coulisses du pouvoir et les liens entre politique et sport. Quels ont été les véritables enjeux de cette vente ? Quel rôle a joué Nicolas Sarkozy ? Et comment cette transaction a-t-elle bouleversé le paysage footballistique français ? Retour sur une affaire qui a changé la face du football français. Nous avons mené notre enquête sur cette histoire secrète de la vente du PSG au Qatar.
DISCLAIMER – Toutes les informations suivantes proviennent de médias internet et n’engagent pas notre responsabilité
Le rôle de Nicolas Sarkozy dans la vente du PSG
Des documents issus de l’enquête judiciaire sur l’attribution controversée de la Coupe du monde de football 2022 au Qatar ont révélé que l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, et son fils, Pierre Sarkozy, auraient joué un rôle fondamental dans la vente du Paris Saint-Germain (PSG) au Qatar. Pierre Sarkozy aurait servi d’intermédiaire entre son père et Sébastien Bazin, un homme d’affaires souhaitant vendre le PSG au Qatar, entre 2010 et 2011.
Nicolas Sarkozy aurait facilité l’acquisition du PSG en échange du soutien de Michel Platini, alors président de l’UEFA, pour l’attribution du Mondial 2022 à l’Émirat. Cette entente aurait été conclue lors d’un déjeuner à l’Élysée le 23 novembre 2010.
Les détails financiers de la transaction
Grâce à l’intervention des Sarkozy et de Claude Guéant, secrétaire général de l’Élysée à l’époque, le prix de vente du PSG aurait augmenté de 30 à 64 millions d’euros. Les Sarkozy auraient ensuite reçu une compensation financière de la part d’Accor lorsque Bazin a pris la tête du groupe hôtelier en 2014. Voici un tableau qui présente ces données financières :
| 💰 Éléments | Valeurs en millions d’euros |
|---|---|
| Prix initial de vente du PSG | 30 |
| Prix final de vente du PSG | 64 |
| Compensation financière pour les Sarkozy | Non divulguée |
Les conséquences de la vente sur le PSG
La vente du PSG a marqué un tournant majeur dans l’histoire du club. Le fonds souverain de l’État du Qatar, Qatar Investment Authority, a acquis une part majoritaire de 70% du capital du club, laissant les 30% restants à l’ancien propriétaire, Colony Capital. Cette acquisition a propulsé le PSG à un nouveau niveau, avec le Qatar injectant des fonds supplémentaires pour stimuler le développement du club. Malgré ce changement de propriété, le président Robin Leproux et l’entraîneur Antoine Kombouaré ont conservé leurs postes.
- Le Qatar a acquis une part majoritaire de 70% du capital du PSG.
- Le président Robin Leproux et l’entraîneur Antoine Kombouaré ont conservé leurs postes malgré le changement de propriétaire.
Implications politiques de l’affaire
La transaction entre le Qatar et le PSG a également eu des répercussions sur le plan politique. Nicolas Sarkozy, en tant que chef d’État à l’époque, a été accusé d’avoir utilisé son influence pour faciliter cette vente, ce qui a suscité des interrogations sur l’indépendance de la présidence française vis-à-vis des affaires de football. L’implication de Michel Platini, alors président de l’UEFA, a soulevé des questions sur l’intégrité du processus d’attribution de la Coupe du monde de football.
L’implication de Pierre Sarkozy en tant qu’intermédiaire a également été mise en lumière, ce qui a conduit à des spéculations sur le rôle des relations familiales dans les transactions de haut niveau. Cette affaire a donc soulevé des questions sur la transparence et l’éthique dans le football professionnel et la politique.
L’augmentation significative du prix de vente du PSG, qui a presque doublé grâce à l’intervention des Sarkozy, a également soulevé des interrogations sur la valorisation des clubs de football et les motivations derrière ces transactions financières. Les détails financiers de la transaction, y compris la compensation financière reçue par les Sarkozy, restent un sujet de débat et d’investigation.
